BACK-TO-SCHOOL ADVICE

Sons are anchors of a mother's life. Sophocles.

Ed. Note: We offer some advice to mothers whose sons are coming to the United States to study for the priesthood. A French translation follows. We ask our friends in France to make sure these mothers receive these helpful suggestions to make sure their sons do not suffer any of the indignities that Pistrina has reported.

Note de la rédaction: Nous proposons quelques conseils pour les mères dont les fils sont à venir aux États-Unis pour étudier à la prêtrise. Une traduction française suit. Nous demandons à nos amis en France pour faire en sorte que ces mères reçoivent ces suggestions utiles pour s'assurer que leurs fils ne souffrent aucune des indignités qui Pistrina a rapporté.

Dear mother of a new seminarian,

In September when the seminary begins the 2011-12 academic year, your son’s vocation and faith may be in grave danger. Since he will have no advocate on the faculty and will not be able to rely on his friends, you must prepare now to help him. Most young men who have only known love and goodness are overwhelmed by the culture and spirit of the place. In order to protect your son and the investment of several thousand euros you have made in sending him to the United States, we offer the following six suggestions, which we collected from former seminarians who left under very difficult conditions:

1. Before the new term commences, contact seminary officials by e-mail to put them on notice that you are holding them accountable for the spiritual, intellectual, moral, and physical welfare of your son. Let them know in no uncertain terms that you will not tolerate verbal abuse, harassment, or overly punitive disciplinary interventions.

2. In the same e-mail, remind authorities that you have sent your son to America to become a priest, not a janitor or a waiter. Make it clear that you expect your child will have ample time for his studies, prayer and meditation, and recreation. Insist that authorities inform you how many hours of each day will be devoted to mopping, dishwashing, sweeping, table-setting, table-waiting, yard work, and other menial duties. Then tell your son to keep a thorough record of hours spent per day in household chores.

3. While your son is at the seminary, tell him to keep a detailed diary of everything that happens. Instruct him to note the time, place, and the name of the official who administers punishment and scolding. Demand that he write a summary of any incident that results in disciplinary activity. If possible, provide him with a small digital tape recorder or be sure he knows how to activate quickly the recording feature on his cell phone.

4. Warn your son never to confide to an advisor anything that he doesn’t want the authorities to discover. Tell him never to give his confessor permission to share anything mentioned in the confessional with another person. Gently advise him not to speak too freely among the other seminarians, even to a friend.

5. Call him once a week and directly inquire how he is being treated, whether there are problems of any sort and how much academic progress he believes he is making. If he takes a laptop with him, be sure to download Skype so that you may see your child’s face: One glance from a loving mother usually reveals more than a hour’s conversation.

6. Remind him to stand up for his rights at the first sign of anything that even appears to be bullying, and insist that he call you immediately. Also, for the sake of safety, tell him to enter the local police department telephone number into his mobile phone’s speed dial.

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Chère mère d'un séminariste nouveau,

En Septembre quand le séminaire débute l'année 2011-12 scolaire, la vocation de votre fils et sa foi peuvent être en grave danger. Depuis, il aura pas d'avocat à la faculté et ne sera pas en mesure de compter sur ses amis, vous devez préparer dès maintenant pour l'aider. La plupart des jeunes hommes qui n'ont connu que l'amour et la bonté sont submergés par la culture et l'esprit du lieu. Afin de protéger votre fils et l'investissement de plusieurs milliers d'euros que vous avez fait en lui envoyant vers les États-Unis, nous offrons les six propositions suivantes, lesquelles nous avons recueilli des anciens séminaristes qui ont quitté dans des conditions très difficiles:

1. Avant que le nouveau trimestre commence, communiquer avec les responsables du séminaire par e-mail pour les mettre sur un avis que vous les tenez pour responsables du bien-être spirituel, intellectuel, moral et physique de votre fils. Faites-leur savoir dans des termes sans équivoque que vous ne tolèrez pas la violence verbale, harcèlement, ou trop punitives interventions disciplinaires.

2. Dans la même adresse e-mail, rappeler aux autorités que vous avez envoyé votre fils en Amérique pour devenir prêtre, pas un concierge ou un serveur. Faites bien comprendre qu'il faut que votre fils aie amplement de temps pour ses études, pour la prière et la méditation, et les loisirs. Exigez qu'ils vous informent combien d'heures de chaque journée sera consacrée à la vadrouille, laver la vaisselle, balayer, service, travaux de jardinage, et autres tâches subalternes. Alors dites à votre fils pour garder une trace complète d'heures passées par jour aux tâches ménagères.

3. Alors que votre fils est au séminaire, dites-lui de tenir un journal détaillé de tout ce qui arrive. Demandez lui de noter l'heure, le lieu et le nom du fonctionnaire qui administre la punition. Demandez qu'il rédige un résumé de tout incident qui entraîne l'activité disciplinaire. Si possible, lui fournir un magnétophone digital ou être sûr qu'il sait comment activer rapidement la fonction d'enregistrement sur son téléphone cellulaire.

4. Prévenez votre fils de ne jamais confier à un conseiller qui rien qu'il ne veut pas les autorités à découvrir. Dites-lui de ne jamais donner son autorisation à son confesseur afin de divulguer quelque chose mentionné dans le confessionnal à une autre personne. Doucement lui conseiller de ne pas parler trop librement parmi les autres séminaristes, même à un ami.

5. Appelez-le une fois par semaine et directement demander comment il est traité, s'il y a des problèmes de toute sorte, et s'il a fait progrès scolaire. S'il prend un ordinateur portable avec lui, être sûr de télécharger Skype afin que vous puissiez voir le visage de votre enfant: Un coup d'oeil d'une mère aimante révèle généralement plus de la conversation d’une heure.

6. Rappelez-lui de se tenir debout pour ses droits au premier signe de tout ce qui semble même être l'intimidation, et insister pour qu'il vous appelez immédiatement. Aussi, pour des raisons de sécurité, dites-lui d'entrer le numéro téléphonique de la police locale dans son téléphone mobile.